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De l’antiracisme comme terreur littéraire

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Un cocktail de mauvaise conscience occidentale et de snobisme bien-pensant pousse un nombre croissant de Français à expier un passé colonial coupable en sacralisant, outre-mesure, la figure de l’étranger le plus souvent de culture musulmane. Le phénomène, parti d’un bon sentiment, conduit à une haine de soi tout aussi dangereuse que la haine de l’autre. Richard Millet parle de « contre-colonisation ». Il se caractérise par un rejet des valeurs d’origine, fondatrices, notamment chrétiennes.

Ce nihilisme, né du relativisme culturel omniscient, entraîne une perte d’identité inquiétante particulièrement sensible du point de vue littéraire : il n’est plus de bon ton d’en référer à Montaigne, Bossuet, Voltaire, Chateaubriand, Proust, etc. Richard Millet examine les différentes accusations de racisme à son encontre : quel sens à prêter à la figure du « réac » ou du « facho » ? Il revient également sur celle de « nazi » incriminant son combat aux côtés des chrétiens durant la guerre du Liban et dénonce l’étendue de la calomnie qui le poursuit.

Outre le déni de réalité qui découle de l’antiracisme, avec pour effet d’interdire le travail de l’écrivain qui « nomme » et ose dire la vérité sur les êtres et sur le monde, l’auteur dénonce le terrorisme intellectuel qu’un tel concept véhicule sous le masque des meilleures intentions.

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